Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 12:27

l'homme était parti ce matin, grognon d'avoir encore essuyé les critiques de sa moitié du moment pour une jachère à durée indéterminée.
mais...
il en avait oublié les clefs du coffre aux trésors!
voilà donc, que de faim de plaisirs non assouvis ,
de morale chrétienne bien ancrée lui refusant toute alternative sur patte pour compenser le manque bien naturel que son enveloppe terrestre lui réclamait, la miss regarda les clefs...
posées là, bêtement, près de son clavier.
"pourquoi pas?! ",se dit-elle!
"après tout, ça calme!
ça ou rien...ben, vaux mieux ça!"

elle ouvrait, voyait tout ce fatras suggestif, pleurait un peu à la pensée qu'elle n'était décidemment que peu désirable pour vivre ce qu'elle vivait.
tant pis.
devant son incapacité à le faire cocu par trop de respect pour ce que représente le couple pour elle,
à défaut de grive...l"outil ferait bien l'affaire!
vibratoire juste ce qu'il faut!
pourquoi n'y avait-elle pas pensé plus tôt?
tout simplement parce qu'elle n'avait pas les clefs qui tentent...
elle regardait plus au fond et voyait la boite à pilules.
il y a quelques jours, il y en avait 2 plaquettes pleines, moins 2 gelules.
elle l'ouvre.
elle voit qu'il manquait toute une plaquette.
celle qui manquait avait subi des découpages de rangées en 2 par 2. et il n'en restait que 2 de la tablette!
la consommation notait qu'il y avait eu des activités dont elle avait été probablement exclue ou  ces pilules avaient des vertus autre...
alors, pour aujourd'hui, elle se résoudrait à jouer seule!
là voilà, en larme, assise au bord du lit
elle se regardait. elle n'était pas si moche, bon sang!
pourquoi ne la désirait-il plus?
pourquoi tous ces reproches?
il avait surement à faire ailleurs et à aller baiser autrement.
ça expliquerait tous ces mots, toutes ces distances.
voilà.
elle s'y mettait.
sur les fesses , en tailleur, face à elle-même, à l'image, elle evitait de regarder son visage.
l'objet vibrait, le plaisir montait, les mains cherchaient et elle voyait gonfler son sexe.
très vite, elle se mettait à 4 pattes.

elle aimait.
elle se regardait vraiment! enfin!
elle ne se trouvait pas si mal à cet instant!
la jouissance était là, violente, bruyante et durait plusieurs minutes, revient 2,3 fois jusqu'à l'insupportable.
elle s'effondrait sur le sol, les genoux rouges, essoufflée, vidée, apaisée.
elle pensait durant le jeu à cet homme qu'elle aimait.
elle l'imaginait au dessus d'elle, déversant  au creux des reins, criant son plaisir.
elle avait envie qu'il la percute, comme un fou, comme ça, en levrette, et imaginait avoir un second à satisfaire devant elle.

pas de nana. elle n'en avait pas envie depuis les dernières déceptions multiples, dégoûtée de ces soeurs qui trichaient et passaient par elle pour se faire tringler par son mec!

elle "croyait" comprendre que son mec voulait qu'elle lui donne les arguments pour décrocher et se déculpabiliser, se libérer, pour tirer d'autres culs, expérimenter d'autres voies sans elle.

à penser ainsi, elle ne pouvait que faire le constat de son impuissance, de sa non maitrise de l'autre...
il lui avait rappelé ces derniers jours qu'elle ne le retiendrait pas.
elle avait abandonné l'idée.
pour ça, les pleurs aussi.

pour ça le vide.

pour ça la punition de jachère, peut-être.

pour aujourd'hui, ce serait cet autre "ça", un "ça" qui lui faisait du bien et qu'elle n'avait pas à réclamer.

demain, elle verrait.

elle n'avait que peu d'envie de tester d'autres chemins.
elle l'aimait trop, surement.
en tout cas, c'est ce qu'il lui reprochait...

un amant?
en y pensant, elle se faisiait la remarque qu'elle avait trop peur des conséquences sur sa vie.sacrée trouillarde!
elle ne voulait pas détruire tout pour une partie de plaisir!
elle avait besoin de stabilité dans le quotidien.
l'amant ne ferait qu'aggraver, accélérer la rupture.


d'accord!...quoi que...faudrait pas pousser maurice trop loin, quand même!

bref...


elle se promettait qu'elle lui raconterait  ses frasques jouissives, ses pensées débiles, ses fantasmes effrayants, histoire de le bouculer un peu dans ses convictions et de réveiller ses ardeurs, peut-être, de manière différente.

elle avait envie aussi de se montrer.

elle aimait l'exibition.
mais elle ne voulait pas prendre trop de risques.
alors, elle avait refusé un "plan" ces derniers jours...

il n'avait pas compris le refus!
il n'entendait pas que bien souvent elle devait rester vigilante et mesurer chaque acte pour préserver sa famille et elle-même...

peut-être  qu'après cet écrit....elle serait différente...


non.

 

elle souhaitait du changement ou plutôt que "ça" bouge, que "ça" l'éveille, que "ça" l'emporte vers elle, cette "elle" qu'elle ne connaissait pas vraiment...


les habitudes lui faisaient peur.

elle imaginait la routine en grande mort annoncée.

il fallait résoudre l'ennui par de l'imprévu, du surprenant, de l'impossible réalisé...

il lui fallait s'éprouver, régulièrement, de sentir vivante et morte à la fois, en jouant au funeste, au sombre, au rien, à l'enfer....passer de l'autre côté du miroir et voir , se voir, ne pas se reconnaitre pour retrouver le goût du clair et du simple qui donne l'envie de coudre à nouveau par le fil de la vie.

 

le vibratoire était retourné dans la table de nuit.
il serait désormais le compagnon de ses nuits blanches et de ses jours de solitude.
elle prendrait peu de risque ainsi.
un compagnon un peu limité en acte mais sans  complication.

elle révisait une dernière fois le fond de malle....

mais non!c'est pas vrai!

elle avait encore flippé pour rien!

quelle imbécile! du n'importe quoi, comme toujours!

les pilules étaient toutes là, en vrac!

encore ses angoisses qui lui avaient fait perdre la raison!

il faudrait qu'elle arrête un peu de flipper, cette nana!

insupportable!

capricieuse!

une enfant.

ah bah!

la vie, quoi!

 

kissssssssssssssssssssssssssssssssssss

Par lilas - Publié dans : d'elle à lui
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Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 12:07

Lilas , la tête basculée en arrière, avait lâché son clavier et réfléchissait, les yeux fermés, adossée à son siège:

vérité.

elle n'avait pas décollé de sa chaise.

elle imaginait des aventures impossibles...
 peu importe.
l'essentiel était dans sa tête.
elle aurait voulu que cette histoire se prolonge par des jeux à vue, non masquée, plus hard encore.
elle fantasmait souvent à des situations terriblement obscènes et interdites par la morale courante.
pourquoi faudrait-il toujours que ce soient les mecs qui profitent d'exib et de strip de nanas et  pas l'inverse?
les femmes, n'en avaient-elles pas le droit?
incendiées à jouer dans les même cours, elles sont re-baptisées : putes et  chaudasses.

Les femmes-objets  accéderaient aux plaisirs de leurs chairs seulement en remerciant humblement  leurs mecs de n'avoir pas eu plus d'égard pour elles  que la chaise de la salle à manger...
bien que les hommes s'en défendent,
"elle" avait observé qu'ils avaient besoin d'être séduit, au delà des jeux hard, par d'autres femmes que la leur, histoire de rassurer leur virilité.
mais leurs femmes?
 n'avaient-elles pas le droit de séduire et d'être séduites alors qu'elles avaient besoin, tout comme eux, de désirer et surtout de se sentir désirer pour elles-même.

ne seraient-elles autorisées qu'à fantasmer ?

le désir existe bien caché sous l'excitation provoquée par l'accomplissement d'interdits.

"elle" aimerait pouvoir jouer à tous les jeux interdits avec son homme et finir les séances d'un accouplement passionné,  rythmé d'hurlements sous la lune...
"elle" aime ce côté "sacré" et le cherche tant parfois.


alors elle revient à l'histoire...

elle demandait "grâce"...
ils la détachaient mais c'était pour mieux la soumettre.
insultée, fouettée, à quatre pattes, ils lui jetaient une  panthère à ses pieds et libéraient sa vue.
"allez, lèche"
elle regardait cette "blondasse" ,comme elle les appellait, pas très dégourdie et bien trop belle pour qu'elle puisse la désirer en partenaire de jeu!
"mais non! pas elle! mes pieds, salope!"
elle léchait sans un mot, sentant à nouveau qu'un autre l'entreprenait de ses arrières.
la blondasse, elle, semblait paumée et regardait sans bouger, attendant que quelque chose se passe...
son homme se marrait en voyant la scène et attrappa la potiche sur patte pour "en faire son affaire".
"regarde, espèce de garce! regarde bien ce que je lui fait"
la blonde hurlait.
il la prenait, la tripotait d'abord avec énervement puis se laissait prendre au jeu et devenait plus doux et les roucoulements débutaient.
ils oubliaient l'assemblée, le scénario. ils étaient là où ils voulaient en venir, pas plus, à baiser plus que "faire l'amour".

Lilas regardait, sonnée de tout ce remue ménage.
elle n'en avait plus rien à faire, un peu dégoûtée de ces putes décolorées qui se servaient d'elle comme d'une belle passerelle pour mieux atteindre son mec et se faire choper...

"pauvre conne de petite pétasse", pensait-elle.
"pauvres mecs!", laissait-elle échapper.

elle n'aurait pas dû dire ça!
les foudres, ou plutôt les claques, déferlaient sur ses fesses.
deux hommes lui bloquaient les épaules pour mieux la positionner à recevoir la punition de son "bon" mec.

bien fait pour elle.

trop bavarde!

mais la blonde rappliquait et réclamait sa part.

pas de problème!
un espèce de bloc de muscles sur pieds s'en occupait.
et je crois bien que les cris qui montaient étaient mêlés de plaisir et de légère douleur...


"ah mais faut pouvoir l'avoir le gabarit, ma belle!

faut assumer ce qu'on demande!

tiens prends ça!
t'aimes ça, te faire défoncer, hein!  dis moi! ça te fait du bien?!"

la blonde ne disait plus rien.
les yeux fermés, elle se tenait auprès de Lilas dans la même position, à 4 pattes, la tête basculée en dedans, assouvie, résignée, saoulée de sexe.
Lilas riait au fond d'elle.
"ah, les blondes s'effondrent vite!"
ravie de voir finir le show blondesque, elle revenait à ses affaires.
voyons...où en était-elle? ben nulle part!
où était son amie, celle qui l'avait accueillie, invitée à boire le café en début d'après-midi?
où était-elle, elle-même?
dans un bois, ça c'est sur!
mais où?

aucune indication...

ce jeu de blonde l'avait quelque peu refroidi de ses ardeurs.
alors, elle bousculait de ses hanches les profiteurs , les mâles qui la tripotaient sans aucune passion, ni attention!
avec étonnement, elle constatait qu'ils acceptaient sa rébellion.
puis, elle demandait qu'ils la ramènent...

le ton était ferme.

ils ne pouvaient plus jouer.

la boutique était fermée.

 

ils avaient compris que la fête était finie.

enfin....c'est ce qu'elle croyait!

ils la détachèrent et la raccompagnèrent ,très calmement, sans un mot, dans la voiture...

Par lilas - Publié dans : fanstasme rouge
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Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 11:56

le plat principal se passait en extérieur.
ils lui expliquèrent, tout en lui jetant un long manteau sur le dos, qu'ils devaient changer de lieu.
masquée, toujours, ils la guidaient jusqu'au siège d'une voiture garée sur le devant de la maison.
basculée sur le ventre sur la banquette arrière, ils démarraient.
le trajet durait d'après elle un bon quart d'heure.
elle entendait la ville et ses bruits puis les sons s'estompaient progressivement.
le silence devenait beaucoup plus présent.

l'air lui paraissait plus frais et pur.
ils s'arrêtaient enfin.
des craquements de bois sous leurs pas, la résonance de leurs voix, lui faisait imaginer un extérieur forestier.
il y avait deux voitures, d'après les claquements de portes et les discussions chuchotées dont elle ne pouvait percevoir la teneur.
un peu brusquement, ils la soulevaient et la déplaçaient hors du réceptacle.
après quelques minutes de marche maladroite, ils s'arrêtaient encore et la plantaient là ,debout, sans un mot.
des bruits...des pas...des frôlements...elle commençait à avoir une sacrée trouille.
ils préparaient l'endroit en fait pour la recevoir.
elle se sentit alors mise en croix, les bras soulevés et fixés à quelque chose de rugueux et un peu souple.

ce devait être la branche d'un vieil arbre.

le vide dans le dos, les pieds au sol coulissés dans un maintien bizarre, (cordes, sangles?) elle admettait au fond d'elle ne pouvait pas de défiler!
elle demandait des explications, inquiète.
rien.
juste quelques soupirs d'agacement.
une odeur de transpiration acre montait à ses narines.

elle se sentait tripotée d'un peu partout, fouillée, explorée.
elle pouvait sentir des sexes s'appuyer de temps en temps sur ses cuisses, ses hanches, son ventre, ses fesses.
puis, deux bras la sanglent et la bascule en avant.elle gémissait déjà de toutes ces caresses mais elle avait sacrément peur .

une langue ,deux langues s'occupaient de sa croupe, son sexe, puis, l'un d'eux la faisant jouir de ses doigts , un second la fessait. un troisième ,s'agrippant à la crinière lui enfournait son sexe dans la bouche.
puis le fesseur ,après avoir admiré son oeuvre, la redressait et la prenait violemment, accompagné du premier .
puis, ils se dégageaient  et la laissait "sécher" là de longues minutes.

 plus tard, bien plus tard...



Par lilas - Publié dans : fanstasme rouge
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Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 11:54

une montée d'adrénaline imprévue ...

à s'ennuyer et à désirer, voilà de quoi devenir dingue.
les mains tremblent, les idées galopent.
pourquoi un trip bain, bulles et gémissements?
la voilà repartie dans ses délires de sensualité et de sexe.
un petit tour sur un site, visite qui dure.
elle fouille. elle cherche à comprendre comment ça marche.
elle voit que c'est possible.
oulala!
elle s'y voit. ce soir...21h..mmm...mais non. pas sans lui.
pas besoin de pass quelconque pour dire, voir, faire...
et puis zut...
ça manque.
elle sent les nerfs qui lâchent.
ne pas s'énerver, ne pas paniquer, ne pas faire n'importe quoi...
alors, elle retourne à son machin sur pile et en quelques minutes, le calme est retrouvé.
juste couchée là, jetée en vrac, sur le dos...
 un petit sommeil d'un quart d'heure et vite, il faut se relever.
un gigot cuit au four.
elle ne sait pas si cela est bien utile de le cuire mais il ne sera pas perdu.
elle résiste à appeler son homme depuis midi.
envie de lui parler, envie d'être obscène souvent sans jamais oser passer le pas...
elle a été tentée de l'appeler pour qu'il entende sa respiration, son plaisir.
mais elle n'est pas sure qu'il apprécierait...
dommage.
ça reste du fantasme.

mais au moins, elle l'écrit.
en voilà encore un...
elle aurait voulu jouer et filmer en direct et qu'il regarde de l'autre côté de l'écran.
mais, ça ne se fait pas.
elle n'a pas le droit.
il lui a bien dit que la cam est dangereuse!
et puis...en a-t-il envie ,seulement?
plaisir solitaire...

à bientôt.

Par lilas - Publié dans : d'elle à lui
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Lundi 9 août 1 09 /08 /Août 11:02

 

miss coquine palabrait.
discussion téléphonique, rendez-vous pris avec une amie...un ami...selon l'heure de la rencontre.
elle (il) proposait une visite des sous sols de ses appartements situés en plein cœur du centre ville...
un café, quelques compliments plus tard, elle descendait l'escalier mal éclairé que lui ouvrait une porte de fond de cour.
 une odeur d'encens un peu sucrée chatouillait ses narines.
elle sentait de petits effleurements soulever le jupon de voile qu'elle avait fixé négligemment en guise de jupe.
il faisait bien trop chaud pour jouer de vinyle et de cuir.
l'ami(e) souriait en coin et dégustait du regard les pièces de chair visibles.
malgré l'obscurité de la pièce, elle devinait le rouge et noir ambiant, la poutre traversante rehaussée d'anneaux et de chaines.

Il faut dire que son amie était « il » au jour, « elle » en nuit et Maitre en certaines pratiques interdites dont miss était friande.
Une jolie balançoire ornait le centre alors qu'en bords se tenaient collés aux murs un fauteuil d'examen en cuir noir bien accessoirisé de lanières, de poignets et de chevillardes.
La chaleur montait. elle transpirait beaucoup. les mains tremblaient.
sans un mot, juste de baisers et de mains accompagnatrices, elle se trouva basculée sur le fauteuil, piégée en quelques secondes avec ravissement.
Impossible de fuir.
masquée d'un loup maintenant, elle n'avait que sa peau, son ouïe, son gout.
elle avait un peu peur.
quelque chose de froid passait entre les fils de sa culotte.
le tissu glissait.
elle devinait qu'il lui avait été enlevé par un coup de ciseau!
elle sentait monter le plaisir de son sexe chatouillé, léché, exploré de doigts, d'objets qu'elle ne voyait pas très doucement...
elle entendait des déplacements, des voix chuchotées.
elle était observée.

elle demandait qui, quoi, comment...
pas de réponse mis à part quelques mots glissés pour la rassurer de son ami(e).
des mains tiraient maintenant sur le reste de ses vêtements et lui déchiraient savamment chaque pièce, entre deux caresses.
nue,  le plaisir la noyait.

elle ne maitrisait plus.

plusieurs mains lui saisissaient les poignets pour lui maintenir fermement par 2lanières au fauteuil...
elle criait, de plaisir et d'inquiétude mêlée, s'agitait un peu trop.
Elle fut donc bâillonnée!
zut!
elle tentait de faire lâcher les liens. impossible.
tout s'arrêtait un instant.
plus un bruit, plus de toucher. plus rien.
à nouveau, elle paniquait, gémissait , secouait la tête.

Mais elle abandonnait bien vite la lutte, épuisée et résignée...

ils la couvraient alors d'un tissu doux et la dé bâillonnaient.
elle dû attendre longtemps avant d'entendre de nouveau quelque chose, un bout de vie dans la pièce.
ils devaient regarder et attendre certainement qu'elle se calme...

 


elle sentaient plusieurs mains sans arriver à les compter qui recalaient les liens afin que lui placer les mains dans le dos.
touchée de toute part, mise à genou , maintenue, guidée par des mains agrippées à ses cheveux, elle devait satisfaire de fellations multiples plusieurs hommes.

 


À 4 pattes sur un tapis, elle était à nouveau fouillée de partout, maintenue contre quelque chose de solide aux épaules.

Ils la sanglaient ainsi contre quelque chose qui lui semblait être en bois.

elle devait satisfaire, encore, plusieurs sexes d'hommes...puis d'une femme qui gémissait.
merde alors!
là, elle avait les boules!
pas le temps.
des claquements piquants de mains expertes,des brulements de lanières, ruisselaient en rythme sur son postérieur.
ils lui fixaient les chevilles au sol pour qu'elle ne s'échappe pas et la faisaient basuler en avant ,bien arrimée à son socle.

là...voilà....les fesses étaient bien présentées.
progressive, la punition tombait à mesure que le plaisir montait, de caresses vaginales et de peau.
elle criait puis ne sentait plus rien et s'abandonnait au plaisir.
alors, la punition s'arrêtait.
les mains caressaient l'œuvre rougit.
ils l'enveloppaient de mots doux et rassurants, de mains apaisantes.
la soeur d'aventure venait aussi la câliner un moment.
puis,4 mains la détachaient et la soulevaient.
décollée du sol, elle était déplacée.
elle sentit  ses fesses épouser une pièce molle.

attachée à nouveau mais cette fois suspendue aux 4 coins d'elle-même, elle se balançait, la pointe de ses fesses touchant ce drôle de support froid et mou.

Elle se relâchait, se reposait.
ils trinquaient, discutaient , commentaient la proie qu'elle était devenue, sans ménagement, lui lançant de temps à autre quelques railleries, lui promettant des frayeurs jouissives prochaines.
aucun n'avait encore assouvi son plaisir.
ils dégustaient...
ils avaient le temps: tout l'après-midi, toute la nuit, disaient-ils.
ils lui donnaient un peu d'eau, renversant volontairement plusieurs verres sur elle.
rafraichie, impuissante, elle lâchait prise et partait ailleurs, dans ses pensées vides, tranquilles, oubliant l'extérieur.
elle s'endormait presque.
mais ils n'avaient pas terminés.
ce n'était que le début...la mise en bouche, comme ils disaient.
le plat de résistance était bientôt prêt lui lançaient-ils.




ils lui demandaient son prénom.

"Lilas", répondit-elle, très doucement, la voix encore tremblante.

"bienvenue dans notre monde, Lilas"

 

.....à suivre... km00296f.jpg

 

Par lilas - Publié dans : fanstasme rouge
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